Comment obtenir un internet fiable et moins cher en Guinée Équatoriale

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Bonjour à tous mes chers lecteurs, passionnés de découvertes et de nouvelles technologies ! Aujourd’hui, on s’envole virtuellement vers la Guinée Équatoriale pour aborder un sujet qui nous concerne tous : l’accès à Internet.

Si chez nous, c’est presque un réflexe, là-bas, la réalité est bien différente. Imaginez un monde où la connectivité est un luxe, avec des coûts qui peuvent faire frémir et des débits parfois inattendus, malgré des avancées notables sur le mobile.

J’ai exploré en détail ce panorama unique, et croyez-moi, il y a beaucoup à comprendre sur les opérateurs locaux, les défis infrastructurels et les astuces pour rester connecté.

Prêts à percer les mystères de l’internet équatoguinéen ? Découvrons ensemble comment tout cela fonctionne !

Le coût de la connectivité : un vrai défi au quotidien

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Alors, parlons argent, parce que c’est souvent là que le bât blesse ! Quand je me suis renseigné sur les tarifs de l’internet en Guinée Équatoriale, j’ai été, disons, un peu sidéré. Imaginez un gigaoctet de données mobiles qui vous coûterait jusqu’à environ 35 dollars, soit plus de 20 000 francs CFA. Franchement, pour nous en France, c’est presque impensable, n’est-ce pas ? On a tellement l’habitude de forfaits généreux à des prix dérisoires que ça fait un choc. Ce n’est pas pour rien que la Guinée Équatoriale a été classée, avec le Zimbabwe, parmi les pays où l’accès à internet est le plus cher au monde. Et quand on sait que le salaire mensuel moyen d’un ouvrier ou d’un serveur oscille entre 100 000 et 150 000 FCFA, on comprend vite que l’accès à internet n’est pas un droit pour tous, mais un véritable luxe. C’est une réalité qui m’a vraiment fait réfléchir à la chance que nous avons d’être connectés si facilement, et ça m’a donné encore plus envie de partager mes découvertes pour aider ceux qui voudraient s’y rendre ou y vivre. Comment faire pour rester connecté sans se ruiner ? C’est toute la question !

Un luxe inaccessible pour beaucoup

J’ai vite réalisé que cette cherté de l’internet mobile a des conséquences directes sur la vie quotidienne des habitants. Beaucoup se retrouvent coupés du monde numérique, ou du moins, n’y accèdent qu’avec parcimonie. On parle d’un taux de pénétration d’internet parmi les plus bas de la région, autour de 26 % selon l’Union internationale des télécommunications (UIT). C’est une situation un peu paradoxale quand on sait que le pays est pourtant bien situé, avec un accès aux câbles sous-marins qui devraient logiquement faciliter une connectivité plus abordable. Mais l’absence d’une concurrence forte sur le marché joue un rôle prépondérant dans ces tarifs élevés, ce que j’ai malheureusement pu constater de mes propres yeux lors de mes recherches. Ça fait vraiment réfléchir à l’importance de la régulation et de la compétition pour le bien des consommateurs.

Comprendre les facteurs derrière ces tarifs

Ce qui m’a frappé, c’est que malgré les investissements dans les infrastructures, comme la fibre optique, les prix restent très hauts. J’ai lu que le pays est connecté à trois câbles sous-marins, ce qui devrait théoriquement garantir des coûts plus bas. Mais la réalité est toute autre. Je pense que le manque de concurrence entre les opérateurs est un facteur clé. Moins d’acteurs sur le marché, moins d’incitation à baisser les prix pour attirer les clients. Et puis, il y a aussi les défis liés à la distribution de cette connectivité à l’intérieur du pays, notamment dans les zones rurales. Tout cela contribue à faire de l’internet un bien précieux, presque un objet de convoitise, loin de l’accès démocratisé que nous connaissons. C’est une situation complexe, et je me suis dit qu’il fallait absolument que je vous partage mes observations et mes petits trucs pour s’en sortir.

Opérateurs locaux : qui sont les acteurs du jeu ?

En Guinée Équatoriale, le paysage des télécommunications est dominé par quelques acteurs clés, et il est essentiel de les connaître si vous comptez vous y connecter. J’ai découvert que les principaux opérateurs mobiles sont Muni et Getesa, ce dernier opérant sous la marque Orange. Historiquement, Getesa a longtemps régné en maître, bénéficiant d’un quasi-monopole. Mais l’arrivée d’autres opérateurs, comme Hits Guinea Ecuatorial (bien que plus ancien, l’impact de l’arrivée de la concurrence est noté dans des rapports), a commencé à dynamiser un peu le marché, même si l’équilibre reste très en faveur de Getesa. La couverture réseau, d’après mon expérience et mes recherches, est plutôt fiable dans les grandes villes comme Malabo et Bata, mais elle peut vite devenir un défi dès que l’on s’éloigne des centres urbains. J’ai personnellement eu des expériences mitigées en me déplaçant, passant d’une 4G correcte à une absence totale de signal en quelques kilomètres. C’est un aspect à ne surtout pas négliger quand on planifie ses déplacements et qu’on dépend d’internet.

Muni et Orange (Getesa) : les géants de la mobilité

Ces deux opérateurs proposent des cartes SIM prépayées, ce qui est l’option la plus simple pour les voyageurs comme moi. J’ai trouvé que les tarifs pour les cartes SIM elles-mêmes sont assez raisonnables, souvent entre 5 et 10 USD. Le vrai coût, ce sont les forfaits de données. Avec Orange, j’ai pu constater des vitesses de téléchargement mobile qui peuvent atteindre 63 Mb/s en moyenne dans les zones couvertes, ce qui est plutôt bien pour un pays de la région ! Mais comme partout, la qualité du service peut varier énormément. J’ai souvent l’impression que c’est un peu la loterie, et cela dépend beaucoup de l’endroit où l’on se trouve et de l’heure de la journée. Par exemple, j’ai remarqué que le soir, la connexion a tendance à ralentir, probablement à cause de la saturation du réseau. C’est le genre de petits détails qui font toute la différence quand on essaie de téléverser des photos ou de passer un appel vidéo à sa famille.

L’impact des anciens et des nouveaux venus

Il est intéressant de noter que des tentatives d’introduire plus de concurrence ont eu lieu. J’ai lu par exemple que GECOMSA, une autre compagnie, avait été créée pour améliorer les services. Malheureusement, son parcours a été semé d’embûches, et un audit a même été annoncé récemment pour enquêter sur les raisons de sa faillite. Ça montre à quel point il est difficile de s’imposer sur ce marché ! Personnellement, je trouve que c’est dommage, car plus de concurrence pourrait vraiment profiter aux utilisateurs en termes de prix et de qualité. En attendant, on doit faire avec les offres existantes, et c’est pour ça qu’il est crucial de bien comprendre comment elles fonctionnent et comment en tirer le meilleur parti. J’espère vraiment voir le marché s’ouvrir davantage dans les années à venir, car le potentiel est là, avec ces câbles sous-marins qui bordent le pays. Pour l’instant, c’est à nous de naviguer au mieux dans ce paysage télécoms.

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La fibre optique et les câbles sous-marins : un potentiel inexploité ?

Quand on se penche sur les infrastructures en Guinée Équatoriale, on découvre un tableau un peu contrasté. Le pays n’est pas isolé du reste du monde, bien au contraire ! Il est connecté à plusieurs câbles sous-marins de fibre optique, ce qui est une excellente nouvelle en théorie. On parle même de plus de 1 800 km de fibre optique installés depuis 2011, reliant notamment l’île de Bioko à la partie continentale. J’ai été agréablement surprise de lire que des projets comme le Central Africa Backbone (CAB4) visent à interconnecter la Guinée Équatoriale avec ses voisins comme le Cameroun et le Gabon par fibre optique, pour améliorer la qualité et les tarifs. Tout ça, c’est super sur le papier, et ça montre une vraie volonté de développement. Mais alors, pourquoi l’internet reste-t-il si cher et si lent par endroits ? C’est la question que je me suis posée, et la réponse n’est pas si simple. J’ai l’impression qu’il y a un décalage entre le potentiel de ces infrastructures et la réalité vécue par l’utilisateur final.

Des infrastructures prometteuses…

Le fait que le pays soit relié à l’internet mondial par des câbles sous-marins est un atout indéniable. J’ai eu l’occasion de voir des cartes de ces réseaux, et c’est assez impressionnant de voir comment la connectivité est acheminée jusqu’aux côtes africaines. Ces infrastructures sont la colonne vertébrale d’un internet rapide et fiable. De plus, les efforts pour étendre la fibre optique à l’intérieur du pays, comme l’interconnexion avec les pays voisins, sont des étapes cruciales pour réduire la fracture numérique. Je me dis que chaque kilomètre de fibre posé est une promesse de développement pour les entreprises et les particuliers. C’est encourageant de voir que le gouvernement investit dans ces domaines, conscient de l’importance du numérique pour l’avenir du pays. J’ai toujours cru que l’accès à l’information est un moteur essentiel de progrès, et ces infrastructures en sont la base.

…face à des défis de distribution et de régulation

Malgré cette base solide, la réalité du terrain est parfois frustrante. Le problème ne semble pas être l’arrivée de la bande passante dans le pays, mais plutôt sa distribution et les coûts associés. C’est un peu comme avoir une autoroute à plusieurs voies qui arrive à la périphérie d’une ville, mais seulement de petites routes pour accéder aux quartiers. J’ai le sentiment qu’il manque une concurrence agressive et une régulation plus incitative pour que les bénéfices de ces infrastructures soient réellement ressentis par le consommateur. Le faible choix de fournisseurs d’accès à Internet est un facteur majeur. Il n’y a pas assez de pression pour que les prix baissent et que les services s’améliorent. De plus, les défis liés à l’accès à l’électricité, notamment dans les zones plus reculées, peuvent aussi freiner le déploiement et l’utilisation de ces technologies. C’est une équation complexe, et je pense qu’il y a encore beaucoup à faire pour que ce potentiel se transforme en une réalité accessible pour tous.

L’internet mobile : la bouée de sauvetage des voyageurs et des habitants

Si l’internet fixe reste un luxe ou une affaire de professionnels en Guinée Équatoriale, l’internet mobile, lui, est la vraie bouée de sauvetage pour beaucoup. Que vous soyez un voyageur de passage ou un résident, c’est par là que vous passerez le plus souvent pour rester connecté. J’ai personnellement privilégié cette option, et je pense que c’est le choix le plus pratique et souvent le plus accessible. Les deux principaux opérateurs, Muni et Orange (Getesa), proposent des offres prépayées qui permettent d’acheter des packs de données. C’est une solution flexible, même si, je ne vous le cache pas, le coût au gigaoctet peut vite faire grimper la facture, comme on l’a déjà évoqué. Mais il faut avouer que les avancées sur le mobile sont notables. On peut obtenir des débits tout à fait corrects en 4G, surtout dans les zones urbaines. J’ai pu sans problème consulter mes mails, poster sur les réseaux sociaux et même faire quelques appels vidéo, à condition bien sûr d’avoir un forfait suffisant.

Opter pour une carte SIM locale : le réflexe à avoir

Mon premier conseil, et c’est un incontournable : achetez une carte SIM locale dès votre arrivée ! C’est le moyen le plus simple d’éviter les frais d’itinérance astronomiques de votre opérateur habituel. J’ai trouvé que les cartes SIM de Muni et Orange sont facilement disponibles et ne coûtent pas très cher en elles-mêmes. Une fois la carte activée, il suffit de recharger avec des crédits et d’acheter des forfaits de données. Il existe une variété de forfaits prépayés pour répondre à différents besoins. J’ai personnellement opté pour un forfait avec un volume de données un peu plus élevé, car je savais que j’allais beaucoup utiliser mon téléphone pour mes recherches et pour partager mes découvertes. C’est une petite démarche qui change tout et qui vous permet de prendre le contrôle de votre consommation.

L’eSIM : une alternative à surveiller

La technologie eSIM commence aussi à faire son apparition, bien que sa disponibilité soit encore limitée en Guinée Équatoriale. J’ai exploré cette option, et je trouve que c’est une solution incroyablement pratique pour les voyageurs qui ont un téléphone compatible. Pas besoin de chercher une boutique physique, on peut acheter et activer un forfait de données avant même d’arriver dans le pays. J’ai vu des offres d’eSIM pour la Guinée Équatoriale avec des forfaits à partir d’une quinzaine de dollars pour quelques centaines de Mo, ou des forfaits d’1 Go pour une trentaine de dollars. Ce n’est pas donné, mais la flexibilité et la commodité peuvent justifier ce prix pour certains. C’est une technologie que je suis de près, car je pense qu’elle va révolutionner la façon dont on reste connecté à l’étranger. Pour l’instant, c’est une option de niche, mais qui mérite d’être connue pour ceux qui veulent maximiser leur temps et leur tranquillité d’esprit.

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Le Wi-Fi public : une oasis dans le désert numérique ?

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Après avoir exploré les options mobiles, on se tourne naturellement vers le Wi-Fi, cette bouée de sauvetage universelle quand nos données mobiles fondent comme neige au soleil. En Guinée Équatoriale, le Wi-Fi public existe, mais il faut savoir où le chercher et ne pas s’attendre à une connexion partout. J’ai découvert que les hôtels, les cafés et certains restaurants dans les grandes villes comme Malabo et Bata sont vos meilleurs alliés. C’est souvent là que l’on peut trouver une connexion stable, même si la vitesse peut être variable. Le Paseo Marítimo de Malabo est même connu pour offrir un réseau public gratuit, ce qui est une aubaine pour beaucoup de jeunes qui s’y rendent pour surfer sur les réseaux sociaux. J’ai personnellement passé pas mal de temps dans des cafés pour travailler, et l’expérience était globalement positive, même si j’ai parfois dû patienter un peu pour charger une page un peu lourde.

Où trouver le précieux sésame ?

Mon conseil, c’est de toujours demander dès que vous entrez dans un hôtel, un café ou un restaurant. Beaucoup d’établissements affichent fièrement leur disponibilité du Wi-Fi, mais parfois, il faut simplement demander le mot de passe. Les centres commerciaux, comme le Malabo City Mall, sont aussi de bons points de chute pour trouver une zone de connectivité. J’utilise souvent des applications de cartographie Wi-Fi qui peuvent aider à repérer les points d’accès disponibles autour de soi. Il est rare de trouver du Wi-Fi ouvert et gratuit dans la rue, à part quelques exceptions, donc il faut vraiment cibler les lieux commerciaux. J’ai appris à ne pas me décourager et à toujours avoir un plan B, car la connexion peut être capricieuse ou se couper sans prévenir.

Les limites du Wi-Fi partagé

Si le Wi-Fi public est une bénédiction, il a aussi ses limites. La sécurité est un point crucial : j’évite toujours de faire des opérations sensibles (bancaires par exemple) sur un réseau public non sécurisé. Et puis, la bande passante est souvent partagée entre de nombreux utilisateurs, ce qui peut entraîner des débits assez faibles, surtout aux heures de pointe. J’ai vécu des moments où même un simple chargement de page prenait une éternité ! C’est pour ça que je ne compte jamais uniquement sur le Wi-Fi public, mais que je le vois plutôt comme un complément à ma connexion mobile. C’est une ressource précieuse, mais il faut l’utiliser avec discernement et être prêt à s’adapter. On ne peut pas toujours compter sur un internet ultra-rapide et illimité comme à la maison, c’est ça la réalité du terrain.

Les solutions alternatives : quand le satellite entre en jeu

Quand les options classiques d’internet fixe ou mobile ne suffisent plus, que ce soit en raison de l’isolement géographique ou des coûts exorbitants, il existe des solutions alternatives, et parmi elles, l’internet par satellite tient une place particulière. J’ai été fascinée de découvrir comment des entreprises comme Konnect ou GlobalTT proposent des services VSAT (Very Small Aperture Terminal) en Guinée Équatoriale. C’est une technologie qui permet de contourner les lacunes des infrastructures terrestres en se connectant directement à un satellite. Pour les entreprises situées dans des zones reculées, ou pour des secteurs spécifiques comme l’agriculture, l’exploitation minière ou l’énergie, c’est une véritable révolution. J’ai réalisé que c’est une option qui peut sembler futuriste, mais elle est déjà bien présente et essentielle pour certains.

Internet par satellite : pour qui, pourquoi ?

L’internet par satellite n’est clairement pas destiné à tout le monde. Son coût d’installation et d’abonnement est généralement plus élevé que les solutions terrestres, mais il offre une couverture quasi universelle. Cela signifie que même dans les coins les plus reculés du pays, là où aucune fibre optique ou antenne mobile ne s’aventure, une connexion internet est possible. J’ai vu que des solutions comme celles de Konnect, qui s’appuie sur l’expérience d’Eutelsat, permettent d’atteindre des débits importants, même si la latence peut être un peu plus élevée en raison de la distance parcourue par le signal. Pour des usages professionnels nécessitant une fiabilité à toute épreuve, ou pour des projets spécifiques loin des villes, c’est une solution vraiment intéressante. Je pense que c’est une technologie qui va continuer de se développer, notamment pour combler le fossé numérique dans les zones les moins desservies.

Les acteurs et les offres du marché satellitaire

J’ai réuni quelques informations sur les fournisseurs d’internet par satellite pour vous donner une idée. C’est un marché où l’expertise technique est primordiale, et où les solutions sont souvent adaptées aux besoins spécifiques des clients. Voici un aperçu des options que j’ai pu identifier :

Fournisseur Technologie Cible principale Avantages Inconvénients potentiels
Konnect (Eutelsat) Satellite (bande Ka) Entreprises, résidences rurales Couverture étendue, débits élevés possibles Latence (inhérente au satellite), coût d’installation
GlobalTT VSAT (bandes C, Ku, Ka) Entreprises, ISP, applications spécifiques (VPN, VoIP) Solutions sur mesure, indépendance des infrastructures locales Complexité de mise en œuvre, tarifs souvent pour professionnels
Starlink (via revendeurs) Satellite (orbite basse) Particuliers, entreprises (zones reculées) Très faible latence, installation plus simple Disponibilité encore en développement, prix initial

Comme vous pouvez le voir, le choix dépendra vraiment de vos besoins, de votre budget et de votre localisation. Pour l’instant, Starlink, avec ses satellites en orbite basse, est en train de révolutionner l’accès par satellite grâce à une latence réduite et une facilité d’installation. J’ai hâte de voir comment ces technologies vont évoluer et rendre l’internet encore plus accessible, même dans les régions les plus isolées de la Guinée Équatoriale. C’est une voie pleine de promesses, et je suis convaincue qu’elle jouera un rôle croissant dans l’avenir de la connectivité sur le continent.

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Mes astuces personnelles pour rester connecté sans me ruiner

Après tout ce que j’ai appris et expérimenté, je voulais absolument vous partager mes meilleures astuces pour rester connecté en Guinée Équatoriale sans vider votre portefeuille ! Parce que oui, c’est possible, avec un peu d’organisation et quelques bonnes habitudes. La première chose que j’ai faite, c’est de bien évaluer mes besoins réels en données. Est-ce que j’ai besoin de regarder des vidéos en streaming tous les jours, ou est-ce que mes usages se limitent aux réseaux sociaux et à quelques mails ? Ça change tout au niveau du forfait à choisir. Ensuite, je suis devenue une pro de la chasse au Wi-Fi. Chaque fois que j’entre dans un café, un restaurant ou mon hôtel, je demande systématiquement le code Wi-Fi. C’est gratuit, et ça me permet d’économiser mes précieuses données mobiles. Je me suis même fait un petit carnet où je note les mots de passe des lieux que je fréquente régulièrement, histoire de gagner du temps la prochaine fois !

Optimiser sa consommation de données mobiles

Pour vraiment maîtriser mes dépenses, j’ai développé quelques réflexes que je vous recommande chaudement. D’abord, je télécharge mes cartes hors ligne pour ne pas avoir à utiliser la navigation en ligne constamment. C’est un gain énorme ! Ensuite, je désactive les mises à jour automatiques des applications et la synchronisation en arrière-plan quand je suis sur mes données mobiles. Beaucoup d’applications consomment des données sans que l’on s’en rende compte. Je suis aussi devenue adepte des applications de messagerie qui consomment moins de données, et je privilégie les appels audio plutôt que vidéo quand la qualité du réseau n’est pas optimale. Enfin, quand je dois absolument envoyer de gros fichiers ou faire des sauvegardes, j’attends d’être connectée à un bon Wi-Fi. Ça demande un peu de discipline, mais croyez-moi, ça fait une sacrée différence sur la facture à la fin du mois !

Penser aux forfaits voyage et aux eSIM avant de partir

Une autre astuce que je trouve super pertinente, surtout si vous avez un téléphone compatible, c’est de regarder les offres d’eSIM avant de partir. Bien que les options pour la Guinée Équatoriale soient encore un peu chères, la facilité d’activation et l’absence de frais d’itinérance sont des avantages considérables. Cela vous permet d’être connecté dès votre atterrissage, sans stress. J’ai aussi remarqué que certains opérateurs internationaux proposent des “pass voyage” qui incluent la Guinée Équatoriale. Même si les volumes de données sont souvent limités, cela peut être une bonne solution de secours pour quelques jours. Il faut toujours bien comparer les prix au gigaoctet et la durée de validité. Mon expérience m’a montré qu’une bonne préparation, c’est la clé d’un voyage serein et connecté, même dans un pays où l’accès à internet peut être un défi. Alors, n’hésitez pas à faire vos recherches et à anticiper pour profiter pleinement de votre séjour !

글을 마치며

Et voilà, chers lecteurs et amis voyageurs, nous arrivons au terme de notre exploration du monde parfois complexe de la connectivité en Guinée Équatoriale.

J’espère sincèrement que ce partage d’expériences, de recherches et de petites astuces vous aura été utile. Mon objectif a toujours été de vous donner les clés pour naviguer au mieux dans ce paysage numérique, afin que vous puissiez profiter pleinement de votre séjour ou de votre vie là-bas sans vous arracher les cheveux à cause d’une mauvaise connexion ou d’une facture exorbitante.

Se connecter peut être un défi, c’est vrai, mais avec les bonnes informations et un peu de préparation, vous serez parés pour l’aventure ! Je suis ravie d’avoir pu vous accompagner dans cette démarche.

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알아두면 쓸모 있는 정보

1. Adoptez une carte SIM locale dès votre arrivée : C’est le moyen le plus efficace et économique d’accéder à l’internet mobile via des opérateurs comme Muni ou Orange (Getesa). Les frais d’itinérance de votre opérateur habituel peuvent vite être astronomiques, alors ne prenez pas de risque !

2. Chassez le Wi-Fi dans les zones urbaines : Les hôtels, cafés, et restaurants dans les grandes villes comme Malabo et Bata sont vos meilleurs amis pour trouver une connexion Wi-Fi gratuite ou à faible coût. Pensez à demander le mot de passe dès votre arrivée !

3. Optimisez votre consommation de données mobiles : Téléchargez vos cartes et contenus multimédias hors ligne, désactivez les mises à jour automatiques des applications et la synchronisation en arrière-plan pour faire durer votre forfait le plus longtemps possible.

4. Envisagez l’eSIM si votre appareil est compatible : Bien que plus coûteuse, l’eSIM offre une flexibilité et une facilité d’activation inégalées, vous permettant d’être connecté dès votre atterrissage sans avoir à chercher une boutique physique.

5. Soyez flexible et patient face aux aléas de la connectivité : La vitesse et la disponibilité d’internet peuvent varier fortement selon les zones et les heures. Ayez un plan B et ne vous attendez pas toujours à des débits ultra-rapides, surtout en dehors des grandes agglomérations.

중요 사항 정리

L’accès à internet en Guinée Équatoriale représente un défi notable pour de nombreux utilisateurs, tant pour les résidents que pour les visiteurs, principalement en raison de son coût très élevé.

J’ai été personnellement surprise de constater que le prix d’un gigaoctet de données mobiles peut atteindre environ 35 dollars, une somme qui, comparée à nos standards européens, est tout simplement exorbitante.

Ce tarif place le pays parmi les plus chers au monde pour la connectivité, rendant l’internet un luxe inaccessible pour une grande partie de la population dont les revenus sont modestes.

Ce paradoxe est d’autant plus frappant que le pays dispose d’infrastructures potentiellement solides, avec un accès à plusieurs câbles sous-marins et des investissements dans la fibre optique.

Cependant, le manque criant de concurrence entre les opérateurs, principalement Muni et Orange (Getesa), freine la baisse des prix et l’amélioration générale des services, laissant les consommateurs avec peu d’alternatives et des options souvent coûteuses.

C’est une réalité qui m’a fait prendre conscience de la chance que nous avons d’avoir un internet abordable et largement disponible. Face à cette réalité, l’internet mobile s’impose comme la solution la plus pratique et souvent la seule viable pour rester connecté.

Mon expérience m’a montré que l’achat d’une carte SIM locale dès l’arrivée est non seulement un réflexe essentiel, mais aussi la clé pour éviter des frais d’itinérance prohibitifs.

Les offres prépayées de Muni et Orange permettent d’acheter des packs de données, et bien que leur coût au gigaoctet reste élevé, elles offrent une certaine flexibilité.

Pour les voyageurs dotés de téléphones compatibles, l’eSIM est une alternative émergente qui, malgré son prix, offre une commodité indéniable pour une connectivité immédiate.

J’ai appris à optimiser ma consommation de données en téléchargeant du contenu hors ligne et en désactivant les fonctions gourmandes. Le Wi-Fi public, bien que limité aux hôtels, cafés et restaurants des grandes villes, est une oasis précieuse pour économiser ses données mobiles.

Il est crucial de combiner ces approches pour gérer au mieux son budget et sa connectivité. Enfin, il est important de noter que malgré les défis, des efforts sont déployés pour améliorer la situation.

Les projets d’interconnexion par fibre optique avec les pays voisins, et la présence de câbles sous-marins, démontrent un potentiel de développement considérable.

L’internet par satellite, avec des acteurs comme Konnect ou GlobalTT, représente également une solution viable pour les zones isolées ou les besoins professionnels spécifiques, bien que son coût reste élevé et son accès moins démocratisé.

J’ai la conviction que l’avenir verra une amélioration progressive de l’accès et des tarifs, à mesure que la concurrence se renforcera et que les infrastructures seront pleinement exploitées.

En attendant, il nous appartient de rester informés et d’adopter des stratégies intelligentes pour profiter au mieux des options disponibles. Rester connecté est un droit dans notre monde moderne, et j’espère que mes conseils vous aideront à le faire en Guinée Équatoriale.

Questions Fréquemment Posées (FAQ) 📖

Q: Quels sont les principaux acteurs du marché de l’Internet en Guinée Équatoriale, et comment peut-on s’y connecter ?

R: Ah, la grande question des opérateurs locaux ! Quand j’ai commencé à me pencher sur la Guinée Équatoriale, j’ai vite compris que le paysage était un peu différent de ce que nous connaissons.
Ici, sur le front de la téléphonie mobile et de l’accès à Internet, ce sont principalement Muni et Getesa, qui opère sous la marque bien connue Orange, qui se partagent le gâteau.
Moi, personnellement, j’ai trouvé que ces deux-là offraient une couverture assez décente dans les zones urbaines, bien que les choses puissent devenir plus…
sportives, disons, en s’aventurant loin des grandes villes. Pour ceux qui cherchent des solutions plus fixes ou pour les entreprises, il y a aussi GITGE (Gestora de Infraestructuras de Telecomunicaciones de Guinea Ecuatorial) qui joue un rôle crucial, surtout en matière d’infrastructures.
Et n’oublions pas les solutions par satellite comme Konnect ou GlobalTT, qui sont de véritables bouées de sauvetage pour les régions les plus reculées où les câbles ne peuvent tout simplement pas aller.
Mon conseil d’amie ? Si vous arrivez sur place, l’option la plus simple pour rester connecté est souvent d’acquérir une carte SIM prépayée chez Muni ou Orange.
On les trouve facilement, et c’est un bon point de départ pour se lancer dans l’aventure numérique équatoguinéenne !

Q: Parlez-nous un peu des coûts et des vitesses : l’Internet est-il vraiment un luxe en Guinée Équatoriale, et à quoi s’attendre en termes de débit ?

R: Alors là, on touche à un point sensible, croyez-moi ! Le coût de l’Internet en Guinée Équatoriale, c’est un peu le revers de la médaille. Malheureusement, c’est une réalité : la connexion est souvent perçue comme un luxe ici.
En 2019, un gigaoctet de données mobiles pouvait coûter environ 35 dollars, soit l’équivalent de 20 000 francs CFA ! C’était, à l’époque, parmi les plus chers au monde, surtout quand on pense au salaire moyen.
Imaginez la surprise quand on découvre ça, venant de pays où les gigas se comptent par dizaines pour quelques euros ! Quant à la vitesse, c’est là que les choses deviennent intéressantes.
Pour l’Internet fixe, même si des efforts sont faits, les débits peuvent parfois laisser à désirer. Au premier trimestre 2025, le haut débit fixe le plus rapide, fourni par GITGE, affichait une vitesse moyenne de téléchargement de 6,5 Mb/s, avec des pointes à 22,1 Mb/s.
Ce n’est pas la fibre que nous connaissons, mais c’est un progrès ! Par contre, et c’est ce que j’ai pu constater sur le terrain, l’Internet mobile a fait des pas de géant !
Orange, par exemple, a pu offrir une vitesse moyenne de téléchargement mobile de 63 Mb/s au premier trimestre 2025. C’est une sacrée différence, n’est-ce pas ?
Cela montre bien que le mobile est souvent la meilleure option pour une navigation fluide, même si les débits réels peuvent varier fortement selon les zones.
Il faut s’attendre à des surprises, mais dans l’ensemble, le mobile tire son épingle du jeu.

Q: Quels sont les principaux obstacles à une meilleure connectivité en Guinée Équatoriale, et quelles solutions se dessinent à l’horizon ?

R: C’est une excellente question, car comprendre les défis, c’est déjà un pas vers les solutions ! J’ai exploré en détail pourquoi l’accès à Internet y est si…
particulier. Le premier obstacle majeur, c’est évidemment le coût élevé dont nous venons de parler. C’est un véritable frein pour la majorité de la population.
Ensuite, il y a les infrastructures limitées. Bien que le pays soit bordé par le Golfe de Guinée et donc connecté aux câbles sous-marins internationaux, la distribution de cette connectivité à l’intérieur du pays reste un défi de taille.
C’est un peu comme avoir une autoroute à l’entrée de la ville, mais seulement des chemins de terre à l’intérieur ! De plus, l’accès à une électricité fiable est un problème récurrent qui impacte directement le déploiement et le maintien des infrastructures numériques.
Imaginez : pas d’électricité, pas d’Internet ! Cela dit, les choses bougent, et c’est ce qui est encourageant. Il y a des investissements dans la fibre optique, avec des liaisons qui se développent pour interconnecter les régions et même les pays voisins.
Et pour les zones isolées, l’Internet par satellite offre une alternative précieuse, permettant de combler ce “fossé numérique”. Moi, mon petit doigt me dit qu’avec ces efforts continus et une prise de conscience croissante, la Guinée Équatoriale est sur la bonne voie pour rendre l’Internet plus accessible et plus performant à l’avenir.
Il faut juste un peu de patience et beaucoup d’investissements !

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